L'aïkido m'a fait découvrir mon corps, puis m'a fait considérer l'autre qui à chaque rencontre, me donne envie de m'améliorer.
Paroles de pratiquants
Je pratique l'Aïkido depuis une trentaine d'années, et je ne me suis jamais blessé : qui dit mieux ? D'ailleurs, plus je vieillis, plus je deviens performant.
J'ai commencé l'Aikido sur les conseils de mon Kiné. Je ne veux pas vous mentir, mais je ne savais pas reconnaitre ma droite de ma gauche, j'étais comme privé de mon propre corps. J'avais 38 ans. Je suis régulier au cours, c'est la condition de ma progression. Et je crois que je progresse.
Je suis venue voir un cours, et puis j'ai hésité en me disant que cela paraissait très technique. Finalement, un jour j'ai fait mon premier pas sur le tatami. Déjà ce jour-là, je respirais mieux. Maintenant 6 ans, et je me trouve bête d'avoir perdu tout ce temps. En fait, les choses se font d'elles-mêmes.
Je pratique l'Aïkido depuis une bonne dizaine d'années. En plus d'avoir acquis des perceptions corporelles de plus en plus fines, un certain goût de l'effort, celui-là récompensé par le plaisir de bouger, s'est développé au fil du temps. Et cela a des conséquences dans tous les domaines de ma vie.
La technique en Aïkido est pour moi stupéfiante ; chaque cours est un éternel éblouissement. Apprendre à bouger de cette manière, devoir gérer son partenaire : c'est le top (désolé je ne trouve pas de mot).